C'est un point sur lequel il sera intéressant d'en discuter avec le meneur. Avec un peu de chance, mon personnage extrêmement pauvre en idéal et riche en raison pourra éviter de se faire hypnotiser et, par là même, ne pas oublier que mon patron me doit mon salaire...iznurda a écrit :Je suis effectivement passé assez rapidement sur ce point. La technique d'hypnose, pour qu'elle fonctionne, nécessite que la personne sur qui on l'exerce lâche prise. Par conséquent les personnes ayant tendance à tout planifier, anticiper, expliquer et gérer font de très mauvais patients : ils refusent tout simplement de ne plus avoir de contrôle, même minime sur la situation. Parmi les 5 traits le plus adapté me semble donc la raison, l'idéal n'empêchant pas l'exaltation. L'empathie pourrait faire l'affaire mais ce n'est pas parce qu'une personne se montre froide qu'elle ne peut "lâcher prise". C'est pourquoi j'ai choisi la raison. Cela dépend cependant de l'interprétation de chacun et ne l'impose nullement.
J'imagine déjà comment le meneur pourra nous détourner de notre route tant et si bien que nous aurions des quêtes annexes à revendre.iznurda a écrit :Clair qu'un clairvoyant est un bonheur pour tout meneur face à groupe de joueurs qui piétinent dans une enquête ^^ Cela en plus d'offrir certaines possibilités scénaristiques.
J’acquiesce absolument !iznurda a écrit :En effet cela pourrait être une possibilité. Ou ton joueur n'a jamais vraiment rien contacté (bien qu'il sente parfois leur présence, admettons) et se montre super fort pour la mise en scène, ce qui nécessite tout de même quelques talents en représentations et en occultisme (pour rendre le tout crédible). Rien que pour voir trimer un joueur invité à une séance dans chez un noble cela vaudrait le coup.
Remarque, la propension de chacun à causer un miracle pourrait également être représenter par cette discipline.iznurda a écrit :En fait on pourrait se demander si un chevalier lame (prière en domaine principal) n'est pas inférieur à un combattant (prouesse en domaine principal). C'est une question d'interprétation mais si, dans cet exemple, on considère que le chevalier lame agit par conviction plus que par son entrainement alors cela prend du sens. De même miracles permet de reconnaître si miracle il y a davantage que la possibilité d'en lancer un (ce qui devrait être plutôt rare). On est donc dans une comparaison assez similaire. En fait la subtilité est de concevoir que chaque personnage aura une vision déformée des choses par son propre scope.
Par exemple une lumière illumine la brume dans les marais gris. Le demorthèn y verra la manifestation d'un C'meogh, un occultiste celle d'un fantôme, un uniste une manifestation divine/du malin au choix, un magientiste un feu-follet, un rustre habitant local un mauvais présage et un combattant, et bien une lumière dans la brume ^^
En effet, je suis assez adepte de l'effet papillon ou de la loi de Murphy. D'ailleurs, un miracle peut ainsi également avoir son revers qui serait alors un désastre.
Puis, prier pour un miracle ne doit certainement pas être chose aisée. Peut-être la prière de groupe peut-elle se matérialiser sous la forme d'un miracle à la manière d'un égrégore ?
Et c'est sans compter qu'un miracle n'est pas forcément celui attendu.
Exempli gratia, une prière pour sauver un individu de la mort pourrait causer la résurrection du chien de la voisine de la tante du poissonnier du fils du voisin qui, lui-même, sauverait un jour la vie d'un des protagonistes.
