
Après, il y a moyen de sécuriser encore davantage le truc, en faisant figurer un langage codé dans le tatouage, que seuls les sigires sont capables de décoder, par exemple.
Et puis, il reste toujours la possibilité de se lancer dans une activité de consulting en tant qu'indépendant une fois passé l'âge de la (pré)retraite! (Oui, préretraite car travail lourd, tout ça...)Vu le taux de mortalité, s'occuper des rares petits vieux vétérans ne me semble pas trop problématiques



Plus sérieusement, je vois bien les sigires "retraités" :
- se faire moines (notamment dans des institutions "pénitentiaires", comme l'abbaye de Corvus) ou clercs
- obtenir un poste pépère dans les hautes instances du temple, pour les plus "politiques" d'entre eux